Salo ou les 120 journées de Sodome. Code DVD-1539. Prix : 29 euro. Je commande
Pier Paolo Pasolini transpose l’œuvre du Marquis de Sade dans la République fasciste de Salò qui exista au nord de l’Italie en 1944 et 1945. Les notables dictateurs font capturer une vingtaine de jeunes femmes et de jeunes hommes qui vont leur servir d’esclaves sexuels. Réalisé en 1975, Salò ou les 120 journées de Sodome demeure à ce jour un film sadomasochiste extrême avec des images à la limite du supportable mais il demeure également un film essentiel sur l’humanité. Pier Paolo Pasolini met en scène sans aucune censure les perversions de Sade ainsi les jeunes captives et les jeunes captifs vivent nus en permanence dans la villa présidentielle transformée en une gigantesque prison, elles et ils marchent à 4 pattes tenus en laisse, elles et ils servent nus les repas, elles et ils sont pénétrés en public selon les humeurs des Maîtres, elles et ils subissent des humiliations cruelles telles que la dégustation de déjections à la petite cuillère, elles et ils sont punis au fouet ou par des châtiments ignobles, elles et ils supportent les pires supplices en étant attachés nus en croix à plat ventre sur le sol, les jeunes captives se plient à toutes les exigences vicieuses comme se soulager dans la bouche ou être sodomisée à 4 pattes en public, les jeunes captifs doivent satisfaire les pulsions homosexuelles des hommes en étant parfois travestis... Il est ici impossible de décrire l’intensité des punitions et des humiliations filmées explicitement avec la volonté exprimée par Pasolini de tout montrer : la beauté des images rendant certains passages encore plus difficiles. Les suppléments du DVD (un portrait de Pasolini, des entretiens avec plusieurs cinéastes français, le tournage du film) apportent l’éclairage idoine pour mieux comprendre le film et sa portée philosophique toutefois nous déconseillons Salò ou les 120 journées de Sodome aux personnes sensibles. Le film a été entièrement restauré pour son édition “ultime” en DVD et il bénéficie d’une scène totalement inédite. En cadeau quand vous achetez ce DVD, vous recevrez un livre de 72 pages qui contient le dossier de presse de l’époque et un portfolio avec plus de 100 photos en noir & blanc et en couleurs. Salò ou les 120 journées de Sodome reste un film controversé mais incontestablement magistral. Origine : Italie. Version originale sous-titrée en français et version française. Durée : 111 minutes.
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La secrétaire. Code DVD-720. Prix : 39 euro. Je commande
Touchant. La secrétaire est un film particulièrement touchant décrivant la relation sadomasochiste entre une secrétaire et son patron. Célibataire, solitaire, Lee Holloway se fait engager à un poste de secrétaire par un avocat en procédure de divorce. Lee est une séduisante jeune femme qui a en elle des petites pulsions masochistes, l'avocat est un bel homme qui est franchement maniaque : les deux personnalités s'attirent et se complètent naturellement. Alors, peu à peu, le travail devient le prétexte à des doux rapports sadomasochistes attendus par chaque protagoniste. Une faute de frappe se fait sanctionnée par une fessée ! Maggie Gyllenhaal interprète magistralement le rôle de Lee, elle joue avec une retenue et une spontanéité qui confèrent à son rôle une véritable âme : la secrétaire est successivement charmante, angoissante, émouvante, sensuelle, drôle, fascinante. La secrétaire s'avère une comédie dramatique articulée autour d'une question : une relation sadomasochiste fait-elle partie d'une relation amoureuse ? La réponse à cette question va permettre au film de s'envoler vers les sommets des love story, égalant sans peine le bonheur d'une Pretty Woman ou d'une Muriel. Pour Steven Shainberg, le réalisateur, La secrétaire se doit d'être perçu comme une normalisation sociale des relations amoureuses sadomasochistes, à la manière de ce que représenta My beautiful laundrette pour la communauté homosexuelle. La secrétaire est un film magnifique, d'une sensibilité parfaite, captivant du début à la fin, car La secrétaire dresse un portrait exceptionnellement juste d'une jeune femme s'épanouissant en vivant sa soumission... et La secrétaire démontre que, en fait, la jeune femme se révèle être la maîtresse du jeu ! Nonobstant, La secrétaire est certainement à ce jour le meilleur film réalisé sur le plaisir de la fessée... pour être précis, sur le plaisir d'une femme à recevoir des fessées ! Et les scènes de soumission féminine se situent tout simplement au summum de l'érotisme : comment ne pas être touché par cette secrétaire aux mains entravées par un carcan qui sert le café, ou par la délectation de la secrétaire à regarder ses fesses rosies par la fessée, ou par le geste naturel de manger dans la main du patron, ou par le courrier apporté entre les dents en marchant à quatre pattes dans les couloirs du bureau ? Vous serez touché. Présentée au Festival de Deauville, saluée par la critique, La secrétaire est désormais disponible en DVD au sein d'une magnifique édition collector. Nous vous proposons La secrétaire en coffret collector dans sa version intégrale sans aucune coupe ni aucune censure (il ne s'agit donc pas d'un DVD d'importation avec des scènes retirées). Le coffret collector comprend le DVD du film dans un emballage séparé imitant un dossier de secrétariat plus un carnet de 44 pages en couleur sur le film qui comporte (entre autres) les 10 commandements de la secrétaire : "2ème commandement - À ton chef les photocopies à quatre pattes tu présenteras", "3ème commandement - Par Maître toutes les phrases tu termineras jamais tu ne me tutoieras", "5ème commandement - À chaque faute de frappe respectueusement une fessée tu recevras"... L'édition collector du DVD présente dans le coffret inclut les bonus suivants : le commentaire audio du réalisateur et de la scénariste, l'interview et la filmographie de l'actrice qui interprète la secrétaire, un entretien avec un psychothérapeute, les scènes de tournages avec les interviews du réalisateur et des acteurs, les bandes annonces, l'intégralité du site français du film ! En une phrase : une splendide édition collector à posséder absolument. Version française et version originale sous-titrée en français. Durée : 106 minutes.
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Eros thérapie. Code DVD-719. Prix : 125 euro. Je commande
Avec Maîtresse de Barbet Schroeder, Eros Thérapie est un des rares films "classiques" sur les dominatrices professionnelles parisiennes. Interprétée par la sublimement belle Claire Nebout, la superbe Maîtresse Dréanne propose à ses clients soumis des "thérapies érotiques" dans son donjon parisien. En compagnie d'une jeune assistante dominatrice, jouée par la ravissante Julie Depardieu, Maîtresse Dréanne se délecte d'humilier ses soumis. Un homme en costume doit se déshabiller pour revêtir sa tenue de soubrette puis servir agenouillé un verre de Champagne à Maîtresse Dréanne... qu'elle s'empresse de lui jeter au visage ! Un soumis travesti est longuement ridiculisé par Maîtresse Dréanne qui le féminise en l'exhibant... devant une de ses amies ! Ainsi dans le donjon de Maîtresse Dréanne, où officie une vraie dominatrice parisienne qui a accepté de participer au film, les soumis subissent un florilège de punitions comme la mise en pénitence dans la salle d'attente avec un bonnet d'âne ou une combinaison de latex, les gifles, la marche à quatre pattes sous le fouet, l'immobilisation sur une roue des sévices... Isabelle Carré, Eva Ionesco et Catherine Frot accompagnent le spectateur dans la découverte de ce luxueux donjon parisien. Réalisé par une femme, Danièle Dubrout, le film Eros Thérapie développe une rare sensibilité féminine sur les plaisirs d'une Maîtresse à dominer les hommes. Injustement méconnu, Eros Thérapie s'avère un film fascinant : Maîtresse Dréanne et son donjon feront fantasmer plus d'un soumis ! Nous vous proposons Eros Thérapie dans sa version intégrale sans aucune coupe ni aucune censure (il ne s'agit donc pas d'un DVD d'importation avec des scènes retirées), et tous ses bonus. Version française. Durée : 97 minutes.

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The girl next door. Code DVD-1651. Prix : 29 euro. Je commande
Sélection officielle au Festival de Deauville en 2008. The girl next door est pour Stephen King “Le premier film américain authentiquement choquant depuis plus de 20 ans”. S’affranchissant de toute limite, à la manière du Salò de Pasolini, en montrant des images extrêmement crues et difficiles, The girl next door décrit le calvaire d’une jeune étudiante qui devient la victime des pulsions sadomasochistes de ses proches. La jeune étudiante est enfermée dans la cave d’une maison bourgeoise pendant des jours et des nuits afin d’être exhibée, humiliée et offerte à ceux et celles qu’elle croyait être ses amis. Suspendue par les poignets, les pieds en équilibre sur des livres retirés un par un, la jeune étudiante est déshabillée en public pour être insultée et répondre à des questions obscènes telles que “Raconte-nous comment tu te masturbes” avant de subir les sévices les plus extrêmes en restant ligotée nue debout ou en étant attachée sur un sommier à ressorts. Les anciens copains de la très mignonne étudiante libèrent sur elle leurs pulsions les plus sadiques et les plus sexuelles sans aucune retenue devant d’autres jeunes hommes et leurs copines dans des scènes quasiment insupportables (indescriptibles ici). L’intensité des punitions pratiquées sur la ravissante jeune femme totalement nue (son sexe et ses seins sont visibles) et leur contexte sulfureux font voler en éclats les tabous actuels de la société en destinant ce film à des spectateurs très avertis. Le film The girl next door est basé sur un fait divers réel, il représente comme le Salò de Pasolini une profonde réflexion sur la fin de l’innocence et notre humanité ! Le DVD vous présente The girl next door dans sa version intégrale non censurée (édition réellement intégrale sans aucune coupe ni censure) en boîtier de luxe avec un fourreau cartonné. Ce DVD est livré en 48 heures (jours ouvrables) par la boutique de ZAZA zaza.fr en France. Origine : États-Unis. Version française et version originale non sous-titrée. Durée : 91 minutes.

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Ma mère. Code DVD-1114. Prix : 450 euro. Je commande
Un film de Christophe Honoré avec Isabelle Huppert, Emma De Caunes et Louis Garrel. Librement inspiré d’un roman de Georges Bataille, en montrant explicitement les scènes de domination, en dévoilant les pénis nus et les sexes nus, “Ma mère” est un film envoûtant qui fait valser tous les tabous... avec des images magnifiques servies par une excellente réalisation. Encensé par la critique (une “réussite” sur le thème des “humiliations mentales” pour Le Monde, un “défi relevé” dans l’exploration des “zones transgressives” pour Les inrockuptibles), “Ma mère” vous est proposé en DVD dans sa très rare édition belge sans aucune censures destinée aux cinéphiles avertis. Une mère confie l’éducation sexuelle de son fils étudiant Pierre à deux très belles jeunes femmes particulièrement dominatrices. Sous l’emprise de ses deux Maîtresses de 25 ans, Pierre découvre la domination féminine : les séries de gifles, le crachat sur le visage, le piétinement du pénis nu sous la semelle de la botte, la flagellation intense, les liens, l’exhibition nu en pleine rue, l’introduction d’un doigt dans son anus, le léchage d’anus, le fétichisme des bottes, les baisers de dévotion sur les mains de la Maîtresse, le collier de cuir, la mise à genoux face à la Maîtresse, le bandeau sur les yeux, les instruments en métal, la pénitence en demeurant ligoté nu sur le sol, l’utilisation de son pénis comme un simple gode par une jeune femme qui le chevauche... La plus jolie dominatrice dispose d’un homme-bonniche qu’elle domine et humilie devant Pierre lors d’une scène époustouflante : un summum de la domination féminine au cinéma ! Les paroles sont parfois aussi puissantes que les images : l’homme-bonniche raconte ainsi à sa Maîtresse et à Pierre un véritable stage SM qu’il a subi en étant traité comme un “jeune porc” ! Plongé dans un monde de débauche régi par sa mère call-girl de luxe, Pierre ne peut pas éteindre le feu de ses désirs les plus obscurs, Pierre ne peut pas s’empêcher de se masturber, Pierre se met naturellement à ramper par terre dans le nectar doré en s’avilissant jusqu’à l’éjaculation ! Ce film intense ne convient pas à toutes les sensibilités. Origine : France. Version française. Durée : 107 minutes.

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Jill the killer. Code DVD-66. Prix : 29 euro. Je commande
Sorti au cinéma en 1999, Jill the killer est un film cultissime aux États-Unis où il fait l’objet d’abondantes controverses. Un policier mène une enquête dans les donjons des dominatrices de Boston, en découvrant les pratiques des Maîtresses et en se livrant lui-même à leurs jeux. Jill the killer évoque une sorte de Maîtresse américain, où le rôle principal est tenu par Dolph Lungren... qui se retrouve bondagé suspendu par les pieds en train de lécher les bottines en cuir rouge d’une dominatrice !
Les magazines fétichistes spécialisés comme Bizarre ont consacré à Jill the killer des dossiers de plusieurs pages en multipliant les superlatifs : “À voir absolument”, “Un jeu d’échec SM”, “Un film accrocheur”, “Il vous gardera riveté sur votre siège”, et notre préféré “Un tour de force” en français dans le texte.
Le qualificatif de “tour de force” est sans doute le plus judicieux car Anthony Hickox, le réalisateur anglais, réussit à montrer des scènes sadomasochistes (très) explicites dans un film grand public en les accompagnant de “full frontal nudity” (nudité totale de face) tout en contournant la censure américaine.
Les dialogues sont eux aussi explicites :
Une dominatrice - Il y a des gens très bien qui ont des instincts pervers, tu sais. C’est devenu d’une telle banalité.
Le policier - Tu n’arriveras pas à me convaincre. Quel plaisir peut-on trouver dans la douleur ?
Une dominatrice - Ce n’est pas la douleur qui préoccupe la plupart des gens, elle est insignifiante en général. C’est l’acte par lui-même. Ces gens jouent un rôle essentiellement. Des personnes comme Michaël ont tellement d’obligations et de responsabilités envers ceux qui les entourent que c’est une façon de se relâcher que de laisser le contrôle à un partenaire.
Le policier visite un club fétichiste fascinant, le club Emma Peel, des studios de dominatrices, sordides ou chics, ou encore un gigantesque donjon typiquement américain où officient plusieurs Maîtresses. Jill the killer dévoile en détail comment un client soumis remplit d’abord avec une dominatrice une fiche de renseignements sur laquelle il indique ses goûts avant d’être dirigé vers la Maîtresse appropriée qui le prendra en main, et le film montre aussi les fantasmes de clients dressés par une infirmière dominatrice, les soumis humiliés, mis en pénitence dans les couloirs d’un donjon, piétinés sous un talon aiguille, fouettés, ou encore bondagés lors de JRP (initiales de “Japan Rope Bondage”, bondage japonais avec des cordes : il convient de prononcer Djaiharpi). Au cours de sa poursuite d’une mystérieuse Maîtresse blonde, le policier va ainsi se rendre (inlassablement) chez plusieurs magnifiques dominatrices sublimées par des splendides tenues fétichistes.
La réalisation de Anthony Hickox est parfaite, formatée en courtes scènes ponctuées de fondues au noir, avec une véritable recherche esthétique, notamment lors des scènes de domination. Riche en rebondissements, le scénario recèle des véritables surprises, telles ces deux superbes sœurs dominatrices dont l’obsession est de punir les mâles. C’est incontestablement son immersion constante dans le monde des dominatrices professionnelles qui fait de Jill the killer un spectacle rare et captivant. Origine : États-Unis. Versions : français, et anglais sous-titré en français. Durée : 90 minutes.
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L'histoire de Richard O. Code DVD-1381. Prix : 29 euro. Je commande
Le titre du film révèle presque à lui seul son thème car c’est en effet une jeune femme qui assouvit les perversions taboues des hommes dans le film Histoire d’O, tandis que c’est un jeune homme qui assouvit les perversions taboues des femmes dans le film L’histoire de Richard O ! Délaissant ses relations d’habitué avec une prostituée dominatrice vêtue de vinyl noir, Richard O va satisfaire les fantasmes les plus interdits de 13 inconnues. Les jeunes femmes croisées dans les rues de Paris décrivent devant une caméra vidéo les désirs sexuels secrets qu’elles aimeraient vivre : “Je rêve que le mec m’emmène dans un endroit avec des amis à lui et qu’il me vende” ! Les jeunes Parisiennes célibataires ont pour la plupart des fantasmes de soumission en souhaitant tour à tour se faire insulter et rabaisser, exhiber leurs sexes sur les trottoirs en plein jour ou face à un homme qui se masturbe, se faire pénétrées dans les toilettes d’un café, être prises de force... Richard O réalise ensuite chaque fantasme : les relations sexuelles ne sont pas simulées, les jouissances ne sont pas simulées, les humiliations ne sont pas simulées ! Parfois ce sont les jeunes femmes qui dictent l’accomplissement de l’acte en dominant l’homme aussi bien verbalement que physiquement, comme lors d’une masturbation du pénis à la canne ou lors d’une lutte au corps à corps (une jeune lutteuse brune inflige une véritable raclée à Richard O) ! Les actes sexuels de soumission et de pénétration sont réellement vécus et filmés (le film a été interdit aux moins de 16 ans lors de sa sortie dans les salles de cinéma) ! L’acteur Mathieu Amalric interprète le rôle de Richard O en vivant vraiment les 13 expériences sexuelles désirées par les 13 jeunes inconnues qui concrétisent leurs fantasmes face à la caméra : le réalisateur montre sans tabous les pénis en érection et les sexes nus offerts des femmes ainsi que les coïts ! Filmé à l’épaule, presque en caméra cachée, le film se situe à la lisière du reportage sur les pratiques sexuelles inavouables et les jeux de soumission des jeunes Françaises. Sélection officielle à la 64ème Mostra de Venise, L’histoire de Richard O a été encensé par la critique (“Un plaisir extrême au visionnage” pour Libération) dont en particulier Le Monde : “Une expérience extrême qui fouette et décoiffe ... /... Il s'ensuit une série de situations qui pourraient être soupçonnées de complaisance phallocratique et de voyeurisme scabreux, n'étaient la beauté, la fantaisie, l'âpreté et la poésie qui tour à tour s'en dégagent. Le sexe, représenté ici dans toute sa vérité (le film est d'ailleurs interdit aux moins de 16 ans), de la jouissance à la douleur, de l'humiliation à l'effusion, de la vulgarité à la drôlerie, est une sorte d'expérience totale qui nous mène évidemment ailleurs, du côté de la quête méta, voire pataphysique”. Important : les Editions Zaza commercialisent le DVD dans sa version intégrale non censurée. Origine : France. Durée : 74 minutes. Version française.
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La maison des sévices. Code DVD-1214. Prix : 150 euro. Je commande
Ce film japonais du célèbre réalisateur Takashi Miike a été interdit de diffusion télé ! Dans une maison close de province au Japon, une jeune prostituée subit les pires sévices imposés par la sadique tenancière du bordel. Avec un esthétisme remarquable (et effroyable !), la jeune prostituée est bondagée puis longuement suppliciée lors de punitions perverses extrêmes particulièrement douloureuses et lancinantes (que nous ne pouvons pas décrire ici étant donné leur cruauté) : les images de bondage et de sévices bénéficient d’une qualité de lumière et de couleur qui les transforment presque en estampes japonaises vivantes. La jeune prostituée est choisie par un client américain, elle se confie à l’homme en lui racontant sa vie de souffrance. La douce musique japonaise, la beauté des décors et des costumes, le scénario hallucinant ciselé à la perfection, les scènes stupéfiantes qui se succèdent telles ces prostituées enfermées derrière des barreaux qui supplient les clients, font de “La maison des sévices” un film culte unique inclassable entre cauchemar et réalité à la manière du cinéma de David Lynch. Nous distribuons le DVD de “La maison des sévices” dans sa version réellement intégrale de 63 minutes (et non pas 30 minutes). Après son film “Audition” qui avait déjà fait scandale, Takashi Miike réalise avec “La maison des sévices” une œuvre exceptionnelle qui repousse toutes les limites de la soumission féminine à l’écran. Ce DVD au contenu intense ne convient pas à des personnes non averties. Le DVD contient 2 reportages (47 minutes et 21 minutes) sur les coulisses du tournage (dont les scènes les plus insoutenables) avec des interviews des actrices. Origine : Japon. Version française et version originale sous-titrée en français (le film a été tourné en langue anglaise). Durée : 63 minutes.
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